La CCIG prend acte de la volonté des Genevois de lutter contre une certaine précarité mise en exergue par la crise que nous traversons. La CCIG a conscience qu’il est nécessaire de répondre à cette problématique. L’introduction d’un salaire minimum étatique unique n’apporte pas, selon la CCIG, la solution. En effet, bon nombre d’entreprises appliquent déjà les référentiels minimaux prévus dans des conventions collectives de travail qui prennent en compte une réalité propre à chaque branche grâce à des négociations entre les partenaires sociaux. L’instauration d’un salaire minimum unique vient remettre en cause un système qui a fait ses preuves.