La CCIG prend acte des résultats de la votation sur la réforme de l’impôt anticipé. Elle regrette qu’une majorité des citoyens ait renoncé à une occasion de récupérer une partie de l’activité liée au marché des obligations. Ce marché s’est pourtant développé au Luxembourg, pays qui ne connaît pas d’impôt anticipé. Rappelons que l’impôt anticipé suisse s’élève à 35% et est le plus élevé au monde. En outre, récupérer ce marché des obligations en Suisse aurait profité à son économie et ses recette fiscales. En effet, les recettes fiscales supplémentaires évaluées avec cette réforme représentaient près d’un demi-milliard de francs par année.