Cette loi visait à prendre en compte, pour le calcul des prestations complémentaires cantonales, 10% de la prime moyenne cantonale d’assurance-maladie. Les Genevois ont souhaité maintenir ce dispositif onéreux sans changement, malgré le fait que le canton soit l’un des trois seuls en Suisse à pratiquer cette politique de prestations complémentaires.

La CCIG regrette l’issue de ce vote qui ne permettra pas de réduire le déficit structurel dont souffre le canton et maintient la crise de dépenses que ce dernier connait depuis de nombreuses années.