A une très large majorité de 58%, les Genevois ont accepté d’assouplir la LDTR pour permettre la transformation de bureaux vides en logements, tout en autorisant le propriétaire à rentabiliser  l’investissement consenti. Alors que le taux de vacance dans le secteur des bureaux est près de 15 fois supérieur à celui des logements, cette modification législative est la bienvenue.

La CCIG se réjouit de ce résultat, qui permet la mise à disposition de plus de logements sans recourir à de nouvelles constructions, en utilisant de manière plus optimale le patrimoine déjà bâti.