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L’économie genevoise ne connaît pas de frontière

CCIG
Posté le 13/03/2019
Nouvelles

Les opportunités d’implantation des deux côtés de la frontière sont toujours plus nombreuses dans le Grand Genève. Mais les modalités ne sont pas forcément bien connues des entreprises, qu’elles soient suisses ou françaises. Pour s’imprégner des bonnes pratiques, la première Table Ronde du Grand Genève du cycle 2019 donnera la parole à trois experts et entrepreneurs concernés le 26 mars prochain à Archamps : Patricia Crousaz-Pantet, déléguée à la DG DERI (Etat de Genève) ; Frédéric Gorecki, fiscaliste et expert-comptable à Synergiplus ; Hichame Metatla, fondateur et CEO de Bee Invested. L’effet frontière, la proximité linguistique ou la mitoyenneté géographique sont autant d’attraits pour des implantations croisées. En revanche, les aspects légaux, fiscaux et administratifs et la différence culturelle constituent encore des freins à cette démarche.

Un intérêt économique régional

La bi-localisation est aussi un enjeu pour la région qui, en encourageant une implantation de sociétés dans l'Hexagone, rééquilibrera un peu la création d’emplois. L'objectif 2030 est de parvenir à 30 000 nouveaux emplois sur sol français, soit un tiers des prévisions totales. Un accompagnement (notamment juridique, comptable ou fiscal) est vivement recommandé pour les entreprises suisses, qui peuvent créer en France une société à responsabilité limitée (Sàrl), une société par actions simplifiée (SAS), une succursale ou encore obtenir une domiciliation. A l’inverse, pour les entreprises françaises, cet accompagnement visera la création d'une filiale, d'une succursale ou d'une société de capitaux indépendante.

 

La TRGG#1 se déroulera le 26 mars 2019 sur le Domaine de Chosal à Archamps Technopole. L’accueil a lieu dès 7h45, la table ronde entre 8h et 9h30; elle sera suivie d’un petit-déjeuner réseautage.

Pour participer, s’inscrire ici.

 

 

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